Depuis quelques temps les études scientifiques affluent et prouvent que le processus cancéreux est bien une maladie de la réduction et non de l’oxydation.
il y a déjà quelques années que nous le disons car c’est ce que nous voyons dans les bilans de malades.
Une équipe de scientifiques a publié, en février 2018, une étude montrant des taux élevés dans les tumeurs cancéreuses de TXN, participant avec le GSH (glutathion) à l’élimination des radicaux libres oxygénés, produits par l’activité mitochondriale. Qu’est-ce que cela veut dire ? La cellule cancéreuse va hyperréguler ses taux d’antioxydants justement pour éviter un excès de radicaux libres qui lui sont fatals.
En même temps, le Dr Shwartz vient d’apporter un élément supplémentaire à sa compréhension du traitement du cancer : il ajoute dorénavant du dioxyde de chlore, pour relancer la mitochondrie dit-il. En fait, il ne fait que saboter la défense de la cellule cancéreuse, en la bombardant d’oxydants.
En BEVR, on peut voir ces 2 processus à l’oeuvre : tout d’abord au début de la maladie le bilan montre de l’alcalose et de la réduction. Réduction qui montre que l’organisme fabrique un excès d’anti-oxydants. Au bout de quelques semaines de redressement de terrain, on peut voir une forte oxydation, ce qui montre bien la reprise en main des mitochondries et l’abandon de la glycolyse anaérobie.
Suite à ces constatations, il me semble important et évident de rappeler de NE PAS DONNER d’anti-oxydants dans un processus tumoral en cours, vitamine C compris. Malheureusement on entend encore trop souvent le discours affirmant que le cancer est une maladie de l’oxydation et qu’il faut donc la combattre en consommant une alimentation la plus réductrice possible. Agir de la sorte signe une méconnaissance profonde de la physiologie et de la biologie et va surtout à l’encontre de la santé des malades.